samedi 5 janvier 2008

LETTRE OUVERTE D'UN SCEPTIQUE AUX CONVAINCUS




Lettre ouverte à ceux qui ne croient pas utile
de réouvrir l’enquête sur le 11 SEPTEMBRE 2001.

par Bluerider

Ou encore :

Pourquoi braver l’hostilité médiatique, politique, sociale
qui entoure le mouvement international d’ « union pour la vérité »
en vue d’ obtenir la réouverture officielle du « dossier 911 » ?


PHOTO: Le rapport de 585 pages "9/11 COMMISSION REPORT" de Kean Hamilton et Zelickow fut présenté le 20 Juillet 2004, soient 60 ans exactement après l'attentat manqué de Claus Schenk Graf von Stauffenberg contre Hitler. Ce document constitue un troisième attentat: Contre la vérité cette fois, de l'aveu même de ses auteurs... Lire " WITHOUT PRECEDENT,The Inside Story of the 9/11 Commission." de Thomas H. Kean et Lee H. Hamilton avec Benjamin Rhodes, illustré, 370 p. Editeur Alfred A. Knopf, 15 Août 2006.



« Le 11 Septembre 2001 désigne un événement à la fois ultime et fondateur. Il réactualise une vision occidentale bipolaire du monde fondée sur la confrontation et l’hégémonie. Par là même il désigne un hallali, celui de la transition inéluctable de ce monde bipolaire vers un autre multipolaire, sur fond de pic pétrolier, de compétition monétaire, et d’endoctrinement des médias. Ses conséquences ne cessent d’alimenter nombre de dissensions internationales, nombre d’entreprises funestes, nombre d’interrogations idéologiques… Or 6 ans plus tard, nous ne savons toujours pas avec certitude, pertinence et logique, à la hauteur des enjeux portés par cet événement, ce qui s’est réellement passé ce jour là ! »

Partant de ce constat, et devant la méfiance voire l’hostilité, souvent justifiées à mon sens, mais aussi la calomnie ou les invectives moins justifiées que suscitent les prises de positions de personnes qui comme moi souhaitent la réouverture de l’enquête officielle, et devant les déformations et amalgames « propagande contre propagande » que génèrent les débats en cours, il m’est apparu nécessaire de clarifier ma position, travail d’assainissement personnel a-politique et a-religieux, tout autant que de faire part au lecteur curieux de mes observations issues de circonstances qu’il découvrira plus avant, et dont le but est avant tout de revenir aux sources même du débat afin au moins d’en effleurer ensemble la complexité, la pertinence et l’actualité.

1 DES PRECAUTIONS :

-La première est qu’il ne faut pas vous arrêter, cher lecteur, aux nombreux défauts aux effets dévastateurs, de la contre-enquête citoyenne en cours : Elle est propulsée par une population hétéroclite, sorte d’armée de sans-culottes impatients, sans chef notoire. Elle est suralimentée par la richesse de son contenu potentiel (tant d’aspects techniques la rendent quasi autonome dans certains de ses compartiments, au point qu’elle aurait sans doute ravi le sociologue Jacques Ellul ), par un désir collectif irrationnel de se prouver à elle même sa bonne foi (comme moi en cet instant), et par la noblesse enivrante du combat qui la sous-tend (la vérité reste une noble cause).
Notons aussi au passage qu’elle est américaine, et n’oublions pas qu’aux USA, n’importe quelle high school vous enseignera que la meilleure manière d’exposer ses idées, c’est de partir du résultat. Et donc elle se permet d’aller systématiquement et trop vite aux conclusions…alors qu’elle est en panne de pouvoir judiciaire et d’assise légale. Mais combien de films ou de séries de Hollywood, nous montrent des justiciers obligés de braver la vindicte, voire de passer outre la loi, pour prouver leur bonne foi, n’est-ce-pas cher lecteur? Par exemple, voyez à la suite les 23 épisodes de HEROES saison1 pour vous en convaincre, d’autant qu’ici la parabole ou la périphrase sur le 11 Septembre est riche, et que Hollywood est de plus en plus féroce avec le pouvoir politique américain.
Enfin, ses conclusions sont souvent extrêmement audacieuses, mêlées parfois à un fatras de considérations et sous-entendus plus ou moins eschatologiques, politiques, moraux, qui n’en font justement qu’une propagande de plus, déjà suffisamment reliée à tous les grands mystères du XXème siècle (Kennedy, Pearl Harbor, le Golfe du Tonkin, l’incendie du Reichstag, Sarajevo et j’en passe). En particulier, certains documentaires ou montages à base d’archives sur le net comme LOOSE CHANGE, en voulant sensibiliser aux incohérences de l’enquête officielle, cèdent trop vite à la tentation de conclure au quasi complot mondial ! L’effet est bien sûr catastrophique pour la cause qu’ils sont censés servir.

-La deuxième est qu’il ne faut pas que vous vous arrêtiez à sa forme, là où justement se répand en calomnies faciles la propagande officielle, qui dans ce cas a beau jeu de dénoncer la difformité de « la chose »! Car la nature même de cette contre-enquête -des investigations citoyennes, de bric et de broc au départ, initiées aux 4 coins des USA puis relayées par internet dans l’adversité la plus totale- en fait un objet protéiforme bien peu académique, plus proche du V-GER de STAR TRECK surgi de l’hyper-espace du net, que d’une thèse de sciences-po d’un intellect consciencieux…En un mot, le bébé fait peur ! C’est Joseph Merrick (ELEPHANT MAN) et son âne! Car songez, cher lecteur, combien il est peu télégénique, peu compréhensible, voire même inadapté au monde moderne. Songez par exemple au grand écart que des témoins ou militants exégètes, majoritairement non professionnels des médias, doivent faire sur un plateau TV pour résumer désormais 6 ans de recherches multiformes en 15 secondes ponctuées d’assauts moqueurs, tout en veillant à ne pas sombrer dans la propagande et s’en tenir strictement aux faits, et en veillant à ce que leurs propos ne soient pas déformés au passage, le tout avec l’impatience qu’on peut légitimement leur prêter. Mission Impossible. Crédibilité zéro. Songez aussi à la montagne de concepts, de valeurs, d’habitudes, de préjugés, d’intérêts et, même si c’est de « l’entartage facile», d’endoctrinements politico-médiatiques, qu’ont pourtant choisi d’affronter, en Sisyphes ou Don-Quichottes des temps modernes, ces citoyens ordinaires !…Car de ce dernier point de vue encore : Chances de survies dans un tel milieu? Zéro. Game over. Play again. Et donc : Quelle peut bien être la « force » qui les pousse à continuer dans de telles conditions?

-La troisième est que vous devez éviter, cher lecteur, la tentation des amalgames, là encore pratique courante de la propagande officielle. Je m’explique : Le fait que ces citoyens utilisent le net, et en soient réduits à des manifestations dans la rue, à des auto-célébrations quasi sectaires, à des sittings de protestation devant le Capitole, à des distributions de tracts et des mailings de DVD, ou encore à des conférences au sein d’Universités, de cinémas, de « non-profit organisations » ou de « charities », assimile leurs actes à ceux d’autres groupes dont je vous épargnerai la liste alter-mondialisante à la polarité politique avérée. Or ils incarnent, patient lecteur, une cause de nature très différente: Elle se situe en effet en particulier au delà des clivages politiques et religieux, dans un brassage idéologique, familial, social, ethnique etc. très large. En particulier, une administration américaine démocrate aurait essuyé le même tir nourri de questions sur ces événements. Nombre d’entre eux ne sont d’ailleurs absolument pas des « militants activistes de base ». Tout ici contredit ceux avides de généralisation, prêts à jeter l’anathème sans écouter… Mais alors cher lecteur, qu’est-ce qui les rassemble en une communauté qui s’agrandit chaque jour ?

-La quatrième est que OUI « la propagande est une langue », et que lorsqu’aux USA, cette contre-enquête citoyenne est appelée « conspiration theory » par les networks et la presse, vous voyez bien, lecteur attentif, que les mots font plus que décrire. Car à la base ce n’est pas une théorie, mais un questionnement que ses détracteurs réduisent à une soi-disant théorie (toujours cette frénésie du résultat, côté officiel cette fois). Et ce questionnement ne vise pas spécialement à établir la réalité d’une conspiration, mais bien, honorable lecteur, à simplement rechercher la vérité, parce que dès les premières minutes qui suivirent le drame, de nombreux témoins directs s’aperçurent que « trop de choses ne collaient pas » dans ce dossier, et qu’à ce titre, certes il a depuis 7 ans passionné des foules un peu comme un bon polar, mais il a surtout soulevé l’indignation de ceux qui l’ont vécu dans leur chair et leur solidarité. Vous saisissez bien par contre je l’espère, l’intérêt de ceux qui ne répondent pas encore aux questions qu’on leur pose, à laisser l’impatience s’installer, et les théories se construire. L’entreprise de dénégation se bâtit ainsi toute seule, appuyée à juste titre, ce qui est terrible, sur les échafaudages encore bien trop scabreux de nos apprentis Columbo. D’autre part, lorsque les détracteurs emploient le mot « conspiration », le raccourci est latent, d’assimiler ces citoyens-enquêteurs aux conspirateurs eux-mêmes, tant le contexte dénégatoire nous y incite…Ce mot désignant alors une Hydre obscure, au lieu d’une Quête au grand jour. Enfin, les connotations du mot « theory » ont également tout pour plaire aux détracteurs: « Tout cela n’est QUE de la théorie», étant alors sous-entendu qu’elle se situe bien loin des faits que tout le monde a pu constater… sur son petit écran, alors même que ce sont ces images (sur-diffusées… ou mystérieusement absentes) qui posent question !!! A méditer tout de même.

Dans un cas comme celui-là, cher lecteur objectif, chacun devrait avoir honte des approximations, car c’est de la dynamite ! De la thermite (1) devrais-je dire, si vous me permettez un peu de propagande encore, du nom des traces d’explosif à haute température trouvées depuis dans des morceaux de décombres des tours (heureusement il en reste quelques-uns), et dont l’usage principal est…la démolition contrôlée d’immeubles. A méditer sans aucun doute.

2 DES FAIBLESSES :

-La première est que tout a été mis en place pour faire taire les voix discordantes, voire les condamner à la vindicte, l’appareil protocolaire ayant agi en outil de propagande sous jacente: Le Président a momifié à outrance l’événement dès le lendemain des attentats, exorcisés rappelez-vous, au cours d’un discours « with us or against us », puis sacralisés par une messe œcuménique mémorable où le Président himself se tint derrière l’autel aux côtés de pas moins de quatre chefs religieux incontournables. Amalgame prévisible : « In Bush we trust ». Tout cela alors que le monde entier était en état cathartique de choc émotionnel sans précédent. J’ai l’impression en me relisant cher lecteur, de commenter la cure d’Alex dans «A CLOCKWORK ORANGE »…Dans ces conditions, comment ne pas comprendre que cette orchestration massivement médiatisée ait su canaliser les sentiments du plus grand nombre, et désigner comme sacrilège toute atteinte à ce blockhaus idéologique ? La mémoire des peuples est courte. Les USA pratiquent la propagande populaire massive depuis George Creel et Woodrow Wilson en 1913. Il y eut toujours des guerres à la clé…A méditer longtemps encore…

-La deuxième est que la quasi totalité des éléments qui pourraient être des pièces à conviction ont justement disparu AVANT même toute enquête approfondie, y compris bien sûr celle de la Commission Officielle. Et cette disparition est intervenue dans des conditions très particulières que j’aimerais, en lecteur curieux, que vous découvriez par vous-même, sinon vous ne finiriez même pas de me lire, et je ne vois pas de quelle autre façon je peux vous présenter ici les choses! Notez au passage que le seul résultat, désastreux selon moi, de ce recyclage-express effectué par « Controlled Demolitions Inc. », entreprise en lien avec la famille Bush, a été à ce jour d’alimenter une controverse de plus, à méditer elle aussi.

-La troisième est que l’enquête officielle n’avait aucune chance d’aboutir. La Commission elle même a été rassemblée « à reculons » et seulement devant l’insistance des familles de victimes qui s’improvisèrent lobbyists dans les couloirs du Capitole (1a), au bout d’un an seulement, par une administration américaine qui s’était repliée malgré ses promesses sur la soi-disant évidente culpabilité de Oussama Ben Laden d’ailleurs prononcée le jour même. Commission qui n’a pu siéger que quelques mois, qui s’est peu rendu sur les lieux d’ailleurs déjà déblayés, dont le premier président, Henri Kissinger, a été démissionné par les familles de victimes demanderesses en raison de ses liens d’affaire avec…la famille d’Oussama Ben Laden, et dont certains membres, pourtant liés au pouvoir récalcitrant, se sont indignés devant les conditions et les moyens qui leur étaient donnés pour mener à bien cette enquête (au final et à grand-peine, 10 fois moins de moyens que pour l’affaire Lewinsky/Clinton quelques années plus tôt)…A méditer n’est-ce-pas ? Nous reviendrons sur cette enquête.

-La quatrième est que la contre-enquête citoyenne, par sa nature même, risque tout de même de ne jamais déboucher sur la réouverture du dossier. Les preuves sont désormais plus virtuelles que réelles, souvent en images, donc sujettes à interprétations divergentes. Les nombreux avocats commissionnés, en particulier des familles de victimes, et les parlementaires curieux, ne semblent pas avoir trouvé d’approche légale pour la réouverture du dossier sur lequel qui plus est, la chape de plomb du PATRIOT ACT s’est abattue. Et enfin, les médias régulièrement sollicités bottent systématiquement en touche, accusant, calomniant, coupant la parole au lieu d’essayer de laisser s’exprimer leurs invités (en particulier sur FOX NEWS, mais on a eu le cas en France sur CANAL+ en 2004, un modèle de non-discussion avec M. Meyssan qui essayait en vain de rester sur le domaine technique et rationnel, tandis que ses protagonistes, de nuances en nuances, finissaient de nous égarer en se discréditant au passage…(à revoir sur le net). Tout cela quand les networks ne « virent » pas purement et simplement leurs animateurs, comme Rosie O’Donnell en Avril dernier sur ABC (donc le groupe DISNEY), pourtant forte de plusieurs Emmy Awards, et qui venait d’augmenter de 18% en 6 mois la part d’audience de son dernier talkshow « THE VIEW », ultra-provoquant c’est vrai. Depuis qu’elle a invité sur son plateau des tenants de la « conspiration theory », elle a été accusée de tous les maux, mais la rumeur (Gageons que son franc-parler la conduira à s’exprimer) veut qu’ABC lui ait proposé un pont d’or pour rester, à condition qu’elle cesse d’inviter des « conspiracists ». Elle a eu le courage de refuser. Pourquoi ? En France, nous avons les interventions extrêmement prudentes du journaliste d’investigation Eric Laurent, et je souscris aux limites qu’il s’impose en plein revival jacobin. Mais quelles en sont les suites ? Sa visibilité médiatique est-elle à la hauteur de l’enjeu ? Un seul journaliste a-t-il fait le lien, le travail d’investigation minimum, entre « La Face cachée du 11 Septembre », d’Eric Laurent, et le mouvement mondial pour une cause dont il ne fait prudemment que baliser le terrain? A méditer toujours…

-La cinquième, c’est simplement que, comme dans mon propre cas d’ailleurs, je tiens pour certaine l’impossibilité dans laquelle vous, lecteur, vous trouvez personnellement de relayer ces informations dans votre cercle professionnel, relationnel, amical, familial. Au stade où elles en sont, ces questions ne peuvent cheminer qu’à titre individuel, je m’en rend bien compte désormais, et j’espère juste « éveiller votre curiosité », au point que vous gardiez désormais une « cellule de veille » sur ce sujet sensible, qui possède nous allons le voir maintenant, des forces réelles pour en troubler plus d’un, y compris des universitaires de renom auxquels je me suis adressé en vain lors d’un colloque portant sur la propagande, s’il voulaient bien eux aussi passer un peu de temps à « écouter » ce dossier au langage si peu académique, et y cheminer avec la prudence d’un iroquois... Lorsque l’un d’entre eux m’a répondu « Tout le monde a vu les avions percuter les 2 tours », ne sous-entendait-il pas pour son auditoire, que je ne les aurais pas vus, ou pire, que j’en contesterais la réalité, ce qui est absurde? Ma question portait maladroitement il est vrai, sur la part de propagande que distille le discours officiel sur cet événement. Mais qui fit son marché de la propagande à cet instant, qui amalgama, qui simplifia la parole d’autrui ? J’avoue que cette réponse m’a laissé pantois, tant elle balayait d’un revers de main ma tentative de recueillir des opinions plus élaborées de personnalités dont par ailleurs je respecte les compétences. La seule démarche possible aujourd’hui l’est « intuitu personae », et rien d’autre, qu’en pensez-vous, lecteur qui je l’espère êtes dubitatif ?

3 DES FORCES :

-La première, cause de toutes les autres, est l’indigence flagrante, la forme scabreuse, et le cadre juridique douteux de l’enquête principale, pourtant de 580 pages ! Autant de flancs portés à la critique.
J’ai vérifié, et c’est vrai : Un MP, ancien ministre anglais (3), observe que seul le premier chapitre est consacré aux faits ! Tout le reste noie les résultats de l’enquête dans une litanie incantatoire de mesures à mettre en place (pour les rares qui n’auraient pas compris) pour éviter que cela ne se reproduise ! Etrange amalgame qui aurait dû constituer un dossier à part, d’ailleurs confidentiel celui-là à mon sens ! Et selon ce MP toujours, le summum du scandale est atteint lorsque le rapport annonce, parmi les quelques résultats de l’enquête, que « les fonds pour financer l’opération n’ont pas été identifiés »…et que « c’est SANS IMPORTANCE » (sic) . Alors qu’on connaît aujourd’hui avec certitude au moins un transfert d’argent en provenance du Pakistan, peut-être d’origine indirectement américaine via les relations père/fils entre CIA et ISI, au profit de Mohammed Atta. A méditer toujours…
D’autre part, les présentations officielles des 3 principaux rapports (911CR, FEMA, NIST : voir sur le net) tiennent de la pantalonnade tant elles laissent des centaines de questions en suspend, portées par des témoins originels, des familles de victimes, des experts. Elles n’ont fait que relancer la polémique, et leur technicité de façade n’a fait que conduire des scientifiques agacés, des ingénieurs dubitatifs, des pilotes goguenards et des militaires de haut rang frustrés à venir renforcer les rangs de ceux qui doutent, armés de nouvelles études plus poussées!
Enfin notez que seule Condolezza Rice aura finalement témoigné sous serment, donnant des réponses sinueuses et elliptiques, et scellant par là même l’innocuité de cette enquête où la baliverne pouvait désormais cohabiter impunément avec la sincérité, le Président n’ayant même pas témoigné seul, mais avec son vice-président (1a). A rapprocher des créations carcérales hors droit d’Abou-Graïb et Guantanamo, pour ne pas parler du rapport Marty. En toute légalité, les USA sont ainsi officiellement passés du flou juridique à l’action illégale!

-La deuxième est qu’il faut tout de même reconnaître à ces refusants de la première heure une absence totale d’intérêts personnels autres que ceux de vouloir la vérité. Ce qui, une fois encore, apparaît incompréhensible aux yeux du plus grand nombre habitué à résonner en termes de bipolarité, bien/mal, blanc/noir…que nous avons bâti en Occident depuis 2 millénaires ! Car cher lecteur, comment dès lors nous nommer, nous cataloguer ? Des anarchistes ? Bien sûr que non ! Des rêveurs ? Pas du tout. Des gauchistes ? Encore moins ! Et tous nous veillons à ne pas être récupérés. Des extrémistes alors? Franchement, non plus. D’ailleurs, tous ceux que je connais désormais ont des préoccupations citoyennes banales : emploi, projets, chômage parfois, famille, enfants, appartement, copains copines, vacances… Et pas de leader charismatique : David Griffin, parfois désigné comme tel dans les médias extrémistes, n’a rien d’un gourou magnétiseur. Non, juste des hommes et femmes compétents dans certains domaines, et qui tentent de mutualiser bénévolement leurs doutes, leurs questions, leurs prises de conscience, leurs bon sens, leurs efforts. Ce qui en soi au pays du business devrait être au contraire unanimement considéré comme exceptionnel et remarquable! Personne à ce jour n’est devenu riche, ou alors il l’était déjà avant (cas de Jimmy Walter, d’ailleurs déçu par la trop grande lenteur à son goût de la prise de conscience). Les DVD qui circulent sont à prix modique, et sont tous en ligne (en basse définition). Idem pour les livres, par exemple ceux de M. Meyssan, peut-étre le journaliste le mieux rétribué gràce à ses efforts qui furent spontanés et immédiats, mais ce n’est pas essentiel, car sans tout cela, les investigations citoyennes auraient quand même lieu. Lorsque par exemple Philippe Breton parle avec tant de pertinence de ces gens étanches à la propagande, et « dont on ne parle jamais », les refusants, eh bien, cher lecteur perplexe, vous en avez là devant vos yeux, à divers degrés certes, dont une partie veulent agir et devenir des résistants ! Attention je le répète: Je ne parle pas des millions d’internautes comme moi, qui se réveillent 6 ans et des 100aines de milliers de morts plus tard (Afghanistan, Irak…). Je ne parle pas non plus des 42% / 70 millions d’américains (enquête Zogby Mai 2006 (4),1200 interviews, marge d’erreur 2,9%) qui ont au moins un doute sur les conclusions des 3 rapports, mais bien de ceux qui ont vécu le 11 septembre, ou qui en sont proches, notamment ces milliers de témoins (1) qui apparaissent au gré des reportages et des « dépositions citoyennes », dont le contenu, balayé de toutes les enquêtes officielles, manifestement s’oppose aux conclusions des rapports. Le comble étant ces dizaines de journalistes des networks, Dan Rather de CBS en tête (mais oui) qui, à chaud, ont réagit sur les ondes « naturellement et spontanément » (1) dans le sens de certains faits démentis ou négligés depuis par l’Enquête officielle, et que la contre-enquête citoyenne tente de remettre à leur juste place. Entre temps, ces journalistes ont sombré dans le mutisme voire la dérision, quand ils ne sont pas partis à la retraite. A méditer là aussi.

-La troisième est que cette contre-enquête repose en grande partie, du moins à son départ, et faute de mieux, sur le réexamen, la mise en perspective, le rapprochement de documents en accès public et libres de droits, donc absolument vérifiables par tout citoyen patient et disponible comme vous l’êtes pour m’avoir lu jusqu’ici(8b). Ces documents sont virtuels certes, et juridiquement fragiles, mais les images parlent d’elles-mêmes; et le verdict du peuple est à portée de clic, pour peu que chacun fasse l’effort de croire en la valeur inaliénable de son bon sens. Celui qui fait que « la terre est terre et le ciel est ciel », et que nos cinq sens enregistrent des données brutes dont nous avons le devoir d’apprécier sereinement le sens parfois caché et la portée même si elle nous dépasse à priori.

En particulier, un peu de propagande s’avère ici incontournable, au travers du ré-examen MINUTIEUX des images des décombres, du timing des ondes sismiques, de la façon particulière dont tombent les 2 tours et surtout le troisième immeuble WTC7 (5), de la manière dont certaines poutres porteuses sont sectionnées (brisure nette à 45° garnie de métal fondu), de la présence de grandes quantités de métal étrangement incandescent dans les soubassements pendant 2 mois, de véhicules bizarrement carbonisés dans les rues adjacentes etc. Sans oublier les dégâts immédiats causés par les aéronefs incriminés dans le champs d’herbe quasi intact de Shanksville, ou dans le mur externe quasi intact du Pentagone, pourtant perforé en profondeur … De quoi semer -il me semble- un trouble profond dans l’entendement de tout individu qui met à l’écart 7 années d’ « abattage médiatique » et fait fonctionner son simple bon sens, n’est-ce-pas cher lecteur intrigué ?

-La quatrième est que la complexité et l’énormité même de cet événement le rendent rebutant certes, mais aussi attirant car perméable à tous les sondages, et que quel que soit le point choisi pour « forer » dans le dossier, chacun de nous se trouve très vite confronté à des aberrations qui violent ce qui jusqu’à cet instant là faisait pour eux que « la terre est terre et le ciel est ciel », comme par exemple l’inexplicable absence des forces aériennes, engagées ce jour-là dans un nombre exceptionnel d’exercices simultanés aux quatre coins des USA, qui rendirent la tâche d’identification par les contrôleurs aérien très difficile. Mais je vais m’expliquer maintenant cher lecteur à titre personnel puisque le « refusant dévoilé » que je suis ne peut désormais plus compter que sur lui-même.

Six années d’existence familiale loin de cette affaire, qui me revient comme V-GER du fin fond de l’espace. Toujours pilote privé, passionné d’histoire de l’aviation et même je le rappelle, foin de toute modestie, lauréat national du concours « Aéronautique Espace 1977 » TF1-Armée de l’Air. D’ailleurs un avion militaire américain Fairchild-Republic A10 "ThunderboltII" s’était crashé au salon du Bourget le jour de la finale, le 3 juin 1977. Le pilote d'essai Howard W. "Sam" Nelson , de la base d'Edwards, CA. fut tué sur le coup, j’ai entendu le fracas du crash dans le hall du plateau télé au moment même où je gagnais, véridique, çela doit figurer dans les archives de l’INA. Devenu entre temps distributeur de films de fiction, puis programmateur de films de fiction et de films documentaires, voilà que début 2007un ami m’envoie un mail sur la sortie imminente d’un film documentaire sur le 11 septembre 2001… Comme tout le monde se souvient de ce qu’il faisait ce jour là, me reviennent immédiatement en mémoire mon choc émotionnel, et mes doutes. Pour ma part, j’étais resté « bloqué » sur les crashes de Shanksville et surtout du Pentagone (6). Je n’avais pas cru à l’existence d’avions aussi gros que des BOEINGS ayant laissés aussi peu de traces, quelles qu’en soient les circonstances. Alors je me suis mis à forer le net dans cette direction, pour y trouver d’abord un bazar séduisant mais chaotique, puis en multipliant les recoupements de sites, et le visionnement d’archives, j’ai pu constaté l’immense chemin parcouru, qui dépasse mon imagination, et j’ai alors commencé à endurer et mesurer l’incompréhension au moins aussi grande qui entoure les doutes que je me suis mis à exprimer…Reste que mon opinion a entre temps définitivement basculé en faveur du soutien à ceux qui demandent la réouverture du dossier par une Commission qui soit pluridisciplinaire afin de mieux répondre à sa complexité, internationale ne serait-ce que parce que les conséquences du 11 Septembre le sont à tout le moins, indépendante et sous contrôle de l’ONU pour des raisons évidentes.

-La cinquième est qu’elle constitue cher lecteur, quoi qu’il advienne par la suite, un nouvel exemple des possibilités qu’offre la globalisation des échanges et le développement des technologies de la communication au service d’une expérience humaine unique à cette échelle
-de mobilisation citoyenne mondiale (rien que cela mériterait un documentaire)
-de constitution d’une banque de données éparses dont « l’étrange convergence », aussi lente qu’inéluctable, permet déjà selon moi pour quelques aspects de la contre-enquête, d’atteindre un point de non-retour vers les conclusions des enquêtes officielles.
-de contre-pouvoir constructif, bien que je tienne à rester à l’écart de cet aspect du débat
-d’apprentissage du réseau mondial, mais d’autres causes ont fait mieux à mon sens.
-de filiation avec, il faut pourtant commencer à l’envisager à ce stade, d’autres grandes affaires de notre histoire, sans toutefois aller jusqu’à conclure quoi que ce soit.
-et plus généralement de reconstruction, certes balbutiante, d’une grille de lecture du monde et des relations internationales plus conforme aux actes. Mais là aussi soyons prudents. Au stade actuel de la contre enquête, c’est encore de l’anticipation féerique.

-La sixième est qu’il y a beaucoup d’autres raisons, précieux lecteur, d’être confiant. Je ne les développerai pas car l’exposé est déjà long, et votre curiosité vous conduira à les trouver vous même. Sachez simplement que chaque semaine, le nombre de ralliements de personnalités éminentes augmente (2). Chaque semaine, dans l’anonymat médiatique le plus complet, les informations découvertes et publiées de façon quasi confidentielle ne font qu’étayer les précédentes, et très exceptionnellement les amendent. Un récent exemple : Michael Moore est resté 6 ans sans intervenir. Mais depuis les previews de SICKO (sortie France Septembre 2007), il insiste pour que soient à nouveau entendus les témoignages des pompiers, et diffusées les vidéos confisquées des caméras autour du Pentagone (il y en aurait plus de cent, nous dit-il). Chaque semaine les tentatives de décrédibiliser le travail accompli achoppent sur leurs propres limites, le plus souvent une méconnaissance patente du dossier, noyée dans un fatras d’invectives. Voir l’intéressante polémique soulevée par Georges Monbiot dans THE GUARDIAN (7) à propos de LOOSE CHANGE en Février dernier. Le blog attaché contient des remarques et liens anglo-saxons très intéressants. Ou en France l’article absurde signé par M. Cockburn dans Le Monde Diplomatique, que pourtant je révère, suite à l’écart de son édition norvégienne qui a tenté seule une « ouverture » sur les interrogations des sceptiques du monde entier... Enfin, n’oublions pas que chaque semaine, des témoins, des secouristes, des pompiers, des voisins de quartier, meurent d’avoir respiré les poussières d’amiante des WTC. (le désamiantage était différé à cause du taux d’occupation insuffisant des tours, à méditer….) et que leurs effets se feront sentir (triste vocabulaire) pendant des 10aines d’années encore… et je ne parle pas du cheminement intellectuel des familles de GI’s actuellement en Irak, des toussotements de leur hiérarchie qui commence à trouver la note salée…ou de l’Iran qui donne des fourmis dans les doigts aux faucons de la Maison Blanche… Non, lecteur attentif, vous l’aurez compris, le 11 septembre n’est pas prêt de quitter le haut de l’affiche, l’ombre des mystères qui l’entourent plane sur nos têtes de citoyens à mon sens abusés!

4 DES QUESTIONS :

Alors une dernière fois, cher lecteur, quelles peuvent être les motivations de ces personnes à la base du mouvement citoyen? Pourquoi disent-elles simplement « non » ? Pourquoi certaines cherchent-elles à aller plus loin que le refus? Pourquoi vont-elles maladroitement jusqu’à être la risée de tous ? Pourquoi certaines en perdent leur emploi? Qu’est-ce qui rapproche tous ces gens? Qu’est-ce qui rapproche des individus aussi différents que des familles de victimes, des voisins de quartier, des pilotes de ligne (8), des hauts gradés de l’armée américaine, des spécialistes du BTP, des pompiers, des secouristes, des policiers, beaucoup de professeurs d’Université (très attaqués par les mass-médias sous l’angle délicat de leur déontologie professionnelle face à leurs étudiants), des membres de l’administration américaine, des élus, des acteurs, et « même » (un peu d’ironie), des hommes d’affaires et quelques journalistes?

On ne le dira jamais assez : Au départ, cette mobilisation NE VISE PAS à prouver quoi que ce soit, mais juste à EXIGER LA VERITE CITOYENNE, et donc à demander la réouverture officielle de l’enquête sur la foi de doutes étayés par des enquêtes privées aux résultats troublants qui demandent à être approfondis et validés officiellement, RIEN DE PLUS. Le web regorge d’indices à charge, de faisceaux de présomptions solides, de questions précises et concrètes, de documents contradictoires. Et pendant ce temps là, tout le monde semble oublier le but unique et essentiel de ces éclaireurs des temps modernes, dans le grand public surtout, prompt à les condamner en sorcellerie. Propagandistes et contre-propagandistes s’affrontent, les uns pour suppléer à leur frustration de citoyens abusés, au silence de leur Etat, et à l’usure du temps, mais les autres… Eh bien là cher lecteur, j’avoue ne pas arriver à comprendre pourquoi, et serais d’ailleurs heureux de recueillir votre opinion sur ce sujet précis! Car enfin, que craint le gouvernement américain ? Il doit avoir confiance dans l’exercice séculaire de sa démocratie qui s’appuie tout de même, et ce n’est pas Tocqueville qui m’aurait contredit, sur l'une des plus vieilles constitutions du monde ! Il doit répondre à ses citoyens divisés, au moins sur les questions techniques, celles qui ne sont pas « secret défense », à défaut des questions purement humaines ou de celles plus délicates qui relèvent de la diplomatie internationale (notamment ce fameux rapatriement surprise de la famille Ben Laden aux yeux et à la barbe de nombreux chefs du FBI après des simulacres d’interrogatoires évoqués dans des documents partiellement déclassifiés après l’âpre combat de Judicial Watch) (8b). La seule chose qui compte, ce sont les QUESTIONS de ces citoyens ordinaires qui sont un jour sortis de leur réserve, qui 6 ans plus tard attendent toujours, et qui à tout le moins méritent une réponse officielle solide, à leurs interrogations de plus en plus solides.

En une phrase qui confine au truisme : Essayons, patient lecteur, de comprendre ces citoyens, leurs actions, leurs travaux, AVANT de les juger. Et pour cela, il faut au moins prendre connaissance de ce qu’ils ont TROUVE (ce qui n’est pas simple je vous l’accorde). Ensuite seulement, vous évaluerez la pertinence de leur « quête de vérité », et notamment si elle est à la hauteur de l’enjeu philosophique, éthique, moral qui se cache derrière ces mots sacrés mobilisés pour des raisons vitales.

5 UN EXEMPLE PARMI 100 AUTRES:

(9) Il rejoint en fait, les déclarations récentes de Michael Moore intervenues depuis la première rédaction de ce pamphlet: Comment un Etat peut-il ne pas répondre « oui » à une question aussi simple que celle-là : « Pouvons-nous voir les bandes de vidéosurveillance autour du Pentagone (celles des hôtels, station-service etc.) que le FBI a confisquées au motif du secret-défense dans les minutes qui ont suivi le crash ? ». Quels mystères sur ces bandes en font un secret d’Etat ? Qu’est ce qu’un avion qui se plante dans un mur a de secret ? Ce n’est pas le dernier modèle de chasseur furtif à ce que je sache, c’est juste un Boeing dans un mur ! Voyez comment les images des tours percutées ont, elles, gavées nos écrans TV pendant le mois qui a suivi, vous vous en souvenez sans doute! Et pourquoi justement, les seules images divulguées à ce sujet (celles du parking du Pentagone) nous montrent-elles un bout d’appareil à contre-jour si furtivement qu’on ne le voit pas (il manquerait 1 ou 2 images selon certaines analyses) ? Arrêtons le délire du secret dans ce cas précis! Il existe même des photos détaillées, nombreuses, de l’intérieur des bureaux après l’impact, et les plans du Pentagone sont connus dans leurs grandes lignes, alors ?… Le bon sens voudrait simplement faire taire la rumeur par un geste de divulgation absolument sans aucunes conséquences militaires ! Car notre bon sens –en tout cas le mien-- nous fait bien comprendre que non vraiment, un avion qui se plante dans un mur, « ça » ne recèle rien de secret. Pour être encore plus précis, le citoyen exerce là son droit à l’information avec à mon sens une légitimité inaliénable. A méditer toujours…. Et ce n’est pas le drame de l’A320 TAM de Sao Paulo en Juillet dernier (il y a bien des éléments de fuselage et d’empennage visibles, mais aussi des corps objectivés), qui me fera changer d’avis, vous l’avez compris cher lecteur (13).

CONCLUSION :

Je vous laisse tirer vos propres conclusions. Ma contribution ne fait qu’effleurer les innombrables questions posées, et la bulle internet qu’elles engendrent. Des recherches plus confidentielles sont en cours par quelques collectifs de pointe, dont celui de l’équipe du film très controversé LOOSE CHANGE (10), qui s’est mise au secret total, pour une sortie d’ici la fin de l’année de la version 3 dite « FINAL CUT », cette fois entièrement validée par un comité d’experts, et, selon les mots de son producteur Tim Sparke, assez différente dans sa forme, et pleine de surprises. En épitaphe de cet état des lieux, elles traduisent la vitalité et la progression de la contre-enquête citoyenne.

Pour moi il ne fait désormais aucun doute qu’à tout le moins, l’ « Evénement 11 Septembre 2001» en son état de connaissance public actuel est un « prisme délétère » au travers duquel notre vision du monde et notre appréhension de sa réalité sont définitivement compromis.
Pour moi il ne fait désormais aucun doute qu’une version plus proche de la réalité et de la vérité qu’elle ne l’est aujourd’hui, débarrassée de ses oripeaux et scories fantaisistes tant du côté officiel que du côté citoyen, mais aussi des calomnies ou de l’indifférence quasi universels que sa recherche suscite, sera mise en évidence aux yeux de tous dans les années à venir, singulièrement grâce aux images, qui, à défaut d’être ma religion, font mon métier.

SELECTION DE LIENS (vous en connaissez sûrement déjà une partie):

Ce ne sont que quelques exemples qui interrogent notre bon sens parmi des dizaines d’autres aspects de cette « affaire »... voir http://www.reopen911.info/, le seul site français qui tente une synthèse à jour, avec des dossiers .pdf bien fait, et en tout bien tout honneur, le site du principal du rapport officiel: http://www.9-11commission.gov/report/911Report.pdf

(1a) http://video.google.com/videoplay?docid=4488542891415681105&q=press+for+truth
Un bon film d’introduction, commandité par des familles de victimes, mais incomplet.
(1b) http://video.google.com/videoplay?docid=-6708190071483512003
Un autre excellent film sur le même sujet, très didactique

(2) http://www.patriotsquestion911.com/
ce site collecte les ralliements de personnalités officielles à la demande de réouverture de l’enquête.
(3) http://video.google.fr/videoplay?docid=8274552561914055825&q=andreas+von+bulow
deux témoignages croisés : Michael Meacher, Andreas Von Bülow, parlementaires, anciens ministres

(4) http://www.911truth.org/article.php?story=20060522022041421 L’enquête Zogby de Mai 2006.

(5) http://www.youtube.com/watch?v=7WYdAJQV100
Le propriétaire des WTC, M. Larry Silverstein, déclare à une télévision à propos du WTC7 « they pulled it » = « Ils l’ont tiré/dégommé », soit une destruction contrôlée dans le jargon du BTP, et peut-être un fil d’Ariane pour les sceptiques des tours jumelles…car on ne prépare pas une démolition en 30 minutes, au milieu des flammes (où étaient les sprinklers?). Là aussi bon sens quand tu nous tiens…

(6) http://www.pentagonstrike.co.uk/pentagon_fr.htm#Main
ce clip sur le Pentagone a le mérite d’annoncer la couleur ! Mais au-delà du folklore, il faut exercer son simple bon sens à partir des photos, très importantes, prises immédiatement après le soi-disant crash.

(7a) http://www.guardian.co.uk/commentisfree/story/0,,2006831,00.html
L’article incendiaire de George Monbiot, journaliste réputé, le 6 Février 2007 dans THE GUARDIAN
(7b) http://www.guardian.co.uk/commentisfree/story/0,,2011845,00.html
et la réponse de Tim Sparke, producteur du film mis en cause
(7c) http://www.loosechange911.com/
et le blog officiel du film mis en cause

(8a) http://www.pilotsfor911truth.org/
Le site des pilotes « résistants », qui sont des professionnels de haut niveau (notez les heures de vol).

(8b) http://www.cooperativeresearch.org/context.jsp?item=a091301flight#a091301flight
Excellent site très neutre qui collationne les données chronologiquement

(9a) http://www.youtube.com/watch?v=L75Gga92WO8&mode=related&search=
(9b) http://www.youtube.com/watch?v=TAaP4Z3zls8
(9c) http://www.judicialwatch.org/cgi-bin/search/exec/search.cgi?search=pentagon&perform_search=Search&skin
(9d) http://www.youtube.com/watch?v=lsWZHKIg3Cs&mode=related&search=
les fameuses vidéos des caméras à l’entrée du parking du Pentagone, dont « il manquerait 1 ou 2 images », publication obtenue seulement en 2006 par le collectif Judicial Watch (9c) après une bataille de procédure, et (9d) une tentative d’y voir quelque chose malgré les images manquantes. A rapprocher de témoignages qui parlent de 2 explosions très rapprochées, et toujours pas de BOEING, désolé… Au lieu de clôturer le débat, ces films l’ont relancé eux aussi!

(10) http://video.google.com/videoplay?docid=-577174447327390558
LOOSE CHANGE2, le film « généraliste » par lequel j’ai abordé ce dossier, bonne introduction au sujet, mais qui n’est finalement pas le meilleur, car trop chargé d’hypothèses, et d’approximations. C’est ce film dont une version 3 dite « FINAL CUT » sera sur les écrans d’ici la fin 2007, aux USA en tout cas.

(11) http://video.google.fr/videoplay?docid=5050200730235217231&q=UA+175&total=22&start=0&num=10&so=0&type=search&plindex=4
Le vol UA175, dans la deuxième tour (sud) du WTC. Il s’agit bien d’un BOEING 767. Mais un BOEING 767 qui « semble » très particulier là encore. Mes yeux sont là pour douter, comme les vôtres…n’y aurait-il pas un pod qui se détache du fuselage lors de l’impact, et un flash traceur juste avant, autrement dit, une charge explosive aéroportée?

(12a) http://www.youtube.com/watch?v=h8mGvFzvwFM&feature=related
(12b) http://www.offutt.af.mil/photos/index.asp?galleryID=1852
D’autres avions étaient sur place au Pentagone malgré l’interdiction de vol, filmés par les TV. Parmi eux un C130 Hercules de guerre électronique, et un 747 d’une version très particulière: Le E4B « Sentry » (sentinelle). Il n’y en a que 4 en service, tous les 4 appartenant à un organisme hybride entre l’administration américaine et l’armée de l’air, et reconnaissables entre tous, Les rapports officiels ne le mentionnent même pas ! En temps normal, les E4B sont utilisés par le haut commandement aérien, l’administration américaine, et la FEMA (auteur d’un des 3 rapports)…Ils ont la particularité de concentrer tous les moyens de communication connus, et de voyager toujours en tandem avec AIR FORCE ONE, l’avion du Président. Le 11 septembre 2001, ces 4 appareils étaient officiellement aux antipodes de Washington…voir (8) et le site de leur unique base aérienne(12b): Offutt AFB, Nebraska, où AIR FORCE ONE s’est rendu ce jour là depuis la Floride, après la visite de l’école primaire par le Président, et avant de rejoindre Washington en soirée... Un sacré détour ! Rien à ce jour n’explique la présence d’un E4B au dessus du Pentagone ce matin là! A méditer toujours…

(13) http://www.crashdehabsheim.net/autre%20crash%20TAM.htm
17 Juillet 2007, le crash de l’AIRBUS A 320 de la TAM à Sao Paulo. L’appareil s’est encastré à 45° dans l’angle intérieur d’un bâtiment en T. Comparez les photos avec celles du Pentagone, et exercez votre bon sens (NB. un A320 est plus petit qu’un 757, 34m contre 38m d’envergure)…

Dimanche 13 mai 2007, màj 21 Août 2007
Bluerider133@gmail.com
Remerciements très posthumes à Thomas de Quincey

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